Tu dors mon amour
Dans la brume des songes, j’ai dessiné ton image
Sur les pages de notre amour, feuillets de lune d’or
Cachés sous l’oreiller des heures bleues du rêve.
Ô croissant de nuit, emportez moi dans ses griseries
Qu’à cheval, je dévale les sentiers de ses monts d’ivresse.
Montrez-moi les chemins d’ombre de son jardin
Que sous son regard, je naisse fleur de rosier sauvage.
Emportez-moi dans son sommeil, dans les prés de verdure,
Qu’au champ de son étoile gorgée de fièvre et mûrit de soleil
J’y boive à satiété dans la profondeur de ses fontaines du désir.
Que sur ses lèvres endormies, j’y dépose l’écrin de mes baisers
Transperçant le cœur de ses songes langoureux.
Ô brume océane, ivresse qui m’a tendue la perche des rêves
Viens, éclaire-moi, ramène-moi sur tes chemins de lumière.
©Jane
Dans la brume des songes, j’ai dessiné ton image
Sur les pages de notre amour, feuillets de lune d’or
Cachés sous l’oreiller des heures bleues du rêve.
Ô croissant de nuit, emportez moi dans ses griseries
Qu’à cheval, je dévale les sentiers de ses monts d’ivresse.
Montrez-moi les chemins d’ombre de son jardin
Que sous son regard, je naisse fleur de rosier sauvage.
Emportez-moi dans son sommeil, dans les prés de verdure,
Qu’au champ de son étoile gorgée de fièvre et mûrit de soleil
J’y boive à satiété dans la profondeur de ses fontaines du désir.
Que sur ses lèvres endormies, j’y dépose l’écrin de mes baisers
Transperçant le cœur de ses songes langoureux.
Ô brume océane, ivresse qui m’a tendue la perche des rêves
Viens, éclaire-moi, ramène-moi sur tes chemins de lumière.
©Jane