ODE A MA SODOMIE
(Sodomie mode d'emploi)
Tu trouves mon cul splendide, brûlant, profond, musclé;
Un fourreau de velours que t'aimes à perforer
Et, à loisir, violer
Sans répit, jusqu'à m'faire hurler de volupté.
Magnifique reptile, d'abord, ta langue en liesse,
Avec délicatesse,
Cajole longuement mon œillet assoupi
Humidifie ses fronces, lentement l'assouplit,
Insufle sa chaleur
Et petit à petit, le réveille en douceur.
Ne voulant être en reste, ton majeur droit, tendu,
Nixe toujours en rut,
Espiègle et égrillard, vient aussi faire sa cour.
Avec application, il en explore le tour
Uniment, excitant,
Caressant en frôlant l'huis déjà palpitant.
Unissant leurs efforts, ta langue et son complice,
L'entrouvent et se glissent,
Tour à tour, tous les deux dans mon perthuis soyeux
Onctueusement lisse. Alors, ton doigt fougueux,
(Un instant hésitant
Juste avant de forcer le doux étranglement)
Oubliant courtoisie, tact et galanterie
Une fois introduit,
Redevenant le voyou qu'il était toujours
S'enfonce d'un seul coup dans mon chaud puit d'amour,
Puis, tel un diablotin
Rejaillit aussitôt en libérant mes reins
Et s'en va rechercher l'index, son voisin.
Tous deux tendus et joints,
A leur tour, sur le seuil, dans une sarabande
Entraînent avec eux le reste de la bande.
Tandis que ma gorge, elle,
Roucoule de plaisir, tous dansent de plus belle;
Entrent, sortent, élargissent, humectent mon fourreau
Dans lequel, illico,
En m'ouvrant plus encore, ton sceptre triomphant
Fiévreux et turgescent, s'enfonce lentement.
Ores, mes muscles secrets,
Nullement contrariés d'avoir été forcés,
Comme lutins agiles, compriment et relachent
Enserrent ton pieu, le massent
Diaboliquement de la base jusqu'au gland;
Un massage mielleux et ferme en même temps,
Rehaussant ton désir
Ensemble, nous surfons sur des vagues de plaisir,
Marchons jusqu'en haut d'un Everest de délice,
Et là, feux d'artifice !
Nous jouissons tous deux. En noyant mon calice,
Tu m'orgasmes plus fort.... que fontaine de Trévisse.
(Sodomie mode d'emploi)
Tu trouves mon cul splendide, brûlant, profond, musclé;
Un fourreau de velours que t'aimes à perforer
Et, à loisir, violer
Sans répit, jusqu'à m'faire hurler de volupté.
Magnifique reptile, d'abord, ta langue en liesse,
Avec délicatesse,
Cajole longuement mon œillet assoupi
Humidifie ses fronces, lentement l'assouplit,
Insufle sa chaleur
Et petit à petit, le réveille en douceur.
Ne voulant être en reste, ton majeur droit, tendu,
Nixe toujours en rut,
Espiègle et égrillard, vient aussi faire sa cour.
Avec application, il en explore le tour
Uniment, excitant,
Caressant en frôlant l'huis déjà palpitant.
Unissant leurs efforts, ta langue et son complice,
L'entrouvent et se glissent,
Tour à tour, tous les deux dans mon perthuis soyeux
Onctueusement lisse. Alors, ton doigt fougueux,
(Un instant hésitant
Juste avant de forcer le doux étranglement)
Oubliant courtoisie, tact et galanterie
Une fois introduit,
Redevenant le voyou qu'il était toujours
S'enfonce d'un seul coup dans mon chaud puit d'amour,
Puis, tel un diablotin
Rejaillit aussitôt en libérant mes reins
Et s'en va rechercher l'index, son voisin.
Tous deux tendus et joints,
A leur tour, sur le seuil, dans une sarabande
Entraînent avec eux le reste de la bande.
Tandis que ma gorge, elle,
Roucoule de plaisir, tous dansent de plus belle;
Entrent, sortent, élargissent, humectent mon fourreau
Dans lequel, illico,
En m'ouvrant plus encore, ton sceptre triomphant
Fiévreux et turgescent, s'enfonce lentement.
Ores, mes muscles secrets,
Nullement contrariés d'avoir été forcés,
Comme lutins agiles, compriment et relachent
Enserrent ton pieu, le massent
Diaboliquement de la base jusqu'au gland;
Un massage mielleux et ferme en même temps,
Rehaussant ton désir
Ensemble, nous surfons sur des vagues de plaisir,
Marchons jusqu'en haut d'un Everest de délice,
Et là, feux d'artifice !
Nous jouissons tous deux. En noyant mon calice,
Tu m'orgasmes plus fort.... que fontaine de Trévisse.