L’orée du printemps
Ma Muse, ma Sirène,
Toi qui me lis,
comprends-tu le désarroi qui m’envahit
quand j’énonce dans mes poésies
Toi qui me lis,
comprends-tu le désarroi qui m’envahit
quand j’énonce dans mes poésies
les quatrains de ma douleur,
je veux faire face, et lutter,
je ne veux plus subir les cils de la souffrance,
chaque aurore assiste à mes efforts.
je veux faire face, et lutter,
je ne veux plus subir les cils de la souffrance,
chaque aurore assiste à mes efforts.
La terre, et les océans peuvent en témoigner,
laisse-moi te confesser
le firmament de ta Tendresse
dès que tu saisis ma dextre.
laisse-moi te confesser
le firmament de ta Tendresse
dès que tu saisis ma dextre.
Les feuilles des arbres me murmurent
la délicatesse des écorces,
ouvre-moi l’orée du printemps,
et le jardin de nos Amours si pures.
la délicatesse des écorces,
ouvre-moi l’orée du printemps,
et le jardin de nos Amours si pures.
Je n’ai que faire des remarques,
je m’approche maintenant à pas menus
de ta maison dont la cheminée fume encore,
ôte le chagrin qui m’enserre,
je m’approche maintenant à pas menus
de ta maison dont la cheminée fume encore,
ôte le chagrin qui m’enserre,
laisse-moi me réfugier en l’anse de tes bras,
et dans le delta de ta délicatesse,
enivre-moi
avec le Soleil de ta Lumière,
et dans le delta de ta délicatesse,
enivre-moi
avec le Soleil de ta Lumière,
arpente les traits de mon visage,
et sur le lit des forêts,
chuchote-moi
les rimes infinies de tes paumes !
et sur le lit des forêts,
chuchote-moi
les rimes infinies de tes paumes !
Sophie Rivière