Hola-la Lola
Hola-la lala, hola-la Lola,
Lalala lala, hola-la lala
Petite fille sage et sans histoires,
Jamais de toi en vers je n’aurais dû,
Parler ou relever ces auditoires,
Qui ont sali ton nom le bras tendu,
Sans souci du chagrin et de la peine,
Utilisant ton image sans droit,
Pour répandre leurs idéaux, leur haine,
Jouant des peurs, de ta mort de surcroît,
Hier soir j’ai vu un documentaire,
Qui parlait de toi et de tout cela,
Voici un an que tu quittais la terre,
Ho! triste spectacle, ô pauvre Lola,
Tu es morte sous les coups d’une folle,
Assassinée une seconde fois,
Par la propagande qui rampe et qui racole,
Sans honte, sans gène pour quelques voix,
Dors sous l’arc-en-ciel de ton innocence,
ils ont ôté à tes parents leurs pleurs,
Pour une toute autre idée de la France,
Une France blanche mono-couleurs,
Hola-la lala, hola-la Lola,
Lalala lala, hola-la lala
Le blanc pure n’existe pas sans tâche,
La feuille vierge s’offre aux gribouillons*,
Dès le trait, la pensée déjà s’y cache,
Et les mots tombent en turbillons*,
Alors si l’habit ne fait pas le moine,
La couleur de peau ne fait pas l’assassin,
Que tu te nommes Mokhtar ou Antoine,
C’est l’être humain qui parfois est malsain,
Nos origines ne font pas le crime,
Petite fille, je te dis adieu,
Seul le poète trafique à la rime,
Toi seule là-haut le sais si un dieu?
Hola-la lala, hola-la lala,
Lalala lala, hola-la Lola
*gribouillons : gribouillis en parlé dauphinois
*turbillons : idem sauf que là je ne sais pas si c'est une déformation régionale ou simplement familiale, un turbillon ou tourbillon pour désigner une personne vive et rebelle, je ne l'ai trouvais nulle part
Hola-la lala, hola-la Lola,
Lalala lala, hola-la lala
Petite fille sage et sans histoires,
Jamais de toi en vers je n’aurais dû,
Parler ou relever ces auditoires,
Qui ont sali ton nom le bras tendu,
Sans souci du chagrin et de la peine,
Utilisant ton image sans droit,
Pour répandre leurs idéaux, leur haine,
Jouant des peurs, de ta mort de surcroît,
Hier soir j’ai vu un documentaire,
Qui parlait de toi et de tout cela,
Voici un an que tu quittais la terre,
Ho! triste spectacle, ô pauvre Lola,
Tu es morte sous les coups d’une folle,
Assassinée une seconde fois,
Par la propagande qui rampe et qui racole,
Sans honte, sans gène pour quelques voix,
Dors sous l’arc-en-ciel de ton innocence,
ils ont ôté à tes parents leurs pleurs,
Pour une toute autre idée de la France,
Une France blanche mono-couleurs,
Hola-la lala, hola-la Lola,
Lalala lala, hola-la lala
Le blanc pure n’existe pas sans tâche,
La feuille vierge s’offre aux gribouillons*,
Dès le trait, la pensée déjà s’y cache,
Et les mots tombent en turbillons*,
Alors si l’habit ne fait pas le moine,
La couleur de peau ne fait pas l’assassin,
Que tu te nommes Mokhtar ou Antoine,
C’est l’être humain qui parfois est malsain,
Nos origines ne font pas le crime,
Petite fille, je te dis adieu,
Seul le poète trafique à la rime,
Toi seule là-haut le sais si un dieu?
Hola-la lala, hola-la lala,
Lalala lala, hola-la Lola
*gribouillons : gribouillis en parlé dauphinois
*turbillons : idem sauf que là je ne sais pas si c'est une déformation régionale ou simplement familiale, un turbillon ou tourbillon pour désigner une personne vive et rebelle, je ne l'ai trouvais nulle part
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