Douleur, ce nom, cette ennemie qui a si souvent partagée ma vie,
Qui a pris possession de mon corps et de ma mélancolie,
qui durant des heures entières à alimenté ma douce folie,
Et qui de lueurs morbides est venu hantées mes nuits.
Tes appels sans cesse interrompaient mes rire,
Et, dés que ton nom s'effaçait dans un sourire,
Ta sève revenait inlassablement parcourir et pourrir
Mon être fragile, lui faisant émettre un énième soupir.
Combien de fois en silence j'ai espérer.
Demandant ton départ, rêvant de t'effacer
De mes songes et d'enfin échapper à tes lois,
Si contraignantes, dérisoires et si noires.
Mais je ne sens plus rien, voila que tu t'en va .
Douleur tu étais devenu mon amie, comment vivre sans toi ?
Mon âme était trop faible, mon coeur était à toi,
tu m'as quitté et je n'ai plus personne pour guider mes pas .
Qui a pris possession de mon corps et de ma mélancolie,
qui durant des heures entières à alimenté ma douce folie,
Et qui de lueurs morbides est venu hantées mes nuits.
Tes appels sans cesse interrompaient mes rire,
Et, dés que ton nom s'effaçait dans un sourire,
Ta sève revenait inlassablement parcourir et pourrir
Mon être fragile, lui faisant émettre un énième soupir.
Combien de fois en silence j'ai espérer.
Demandant ton départ, rêvant de t'effacer
De mes songes et d'enfin échapper à tes lois,
Si contraignantes, dérisoires et si noires.
Mais je ne sens plus rien, voila que tu t'en va .
Douleur tu étais devenu mon amie, comment vivre sans toi ?
Mon âme était trop faible, mon coeur était à toi,
tu m'as quitté et je n'ai plus personne pour guider mes pas .