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Vol de nuit ....

lilasys

Maître Poète
#1
Vol de nuit ...

N'éclairez pas ce soir son visage !
La lumière lui creuse des rides
Entre les cils de son regard perfide
J'entrevois comme un mauvais présage

N'éclairez pas la paume de sa main !
La ligne tortueuse trace une dure existence
Comme si l'échafaud était la pénitence
L'issue fatale à l'aube d'un nouveau matin

N'éclairez pas ! N'éclairez rien de lui !
C'est un fardeau qui pèse dans mes songes
Il passe son temps à raconter des mensonges
Mais je sais qu'il est perdu dans la nuit

Il s'agrippe à mon âme de toute sa force
Enchaîné à moi ce mendiant se meurt
La face pâle baigné de rancœur
Ô Dieu! Nulle prière ne fera une entorse ...
Pitié. Pitié...
Cauchemar.

LILASYS
 
Dernière édition:
#4
Vol de nuit ...

N'éclairez pas ce soir son visage !
La lumière lui creuse des rides
Entre les cils de son regard perfide
J'entrevois comme un mauvais présage

N'éclairez pas la paume de sa main !
La ligne tortueuse trace une dure existence
Comme si l'échafaud était la pénitence
L'issue fatale à l'aube d'un nouveau matin

N'éclairez pas ! N'éclairez rien de lui !
C'est un fardeau qui pèse dans mes songes
Il passe son temps à raconter des mensonges
Mais je sais qu'il est perdu dans la nuit

Il s'agrippe à mon âme de toute sa force
Enchaîné à moi ce mendiant se meurt
La face pâle baigné de rancœur
Ô Dieu! Nulle prière ne fera une entorse ...
Pitié. Pitié...
Cauchemar.

LILASYS
un jolie récit d'un cauchemar
arf cela fait peur ouf le jour est revenue
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#6
Vol de nuit ...

N'éclairez pas ce soir son visage !
La lumière lui creuse des rides
Entre les cils de son regard perfide
J'entrevois comme un mauvais présage

N'éclairez pas la paume de sa main !
La ligne tortueuse trace une dure existence
Comme si l'échafaud était la pénitence
L'issue fatale à l'aube d'un nouveau matin

N'éclairez pas ! N'éclairez rien de lui !
C'est un fardeau qui pèse dans mes songes
Il passe son temps à raconter des mensonges
Mais je sais qu'il est perdu dans la nuit

Il s'agrippe à mon âme de toute sa force
Enchaîné à moi ce mendiant se meurt
La face pâle baigné de rancœur
Ô Dieu! Nulle prière ne fera une entorse ...
Pitié. Pitié...
Cauchemar.

LILASYS
Survol ce jour.

N'éteignez pas ce jour mon rivage,
Car derrière, je luis et je creuse ses brides,
Quand son esprit hagard me guide,
J'entreprend comme le plus beau des sages.


N'éteignez pas mon index dès demain,
Son signe vertueux se place en une pure chance,
Même si ma torture est ma pertinence,
L'issue banale du déclin du vieux satin.


N'éteignez pas, éclairez ses biens à elle,
C'est un cadeau qui me pèse, qui me ronge,
Elle délasse mon temps à nous conter ses songes,
Moi, je sais qu'il est éperdu pour ma belle.

Elle grippe ma lame, mais elle n’est pas de Corse,
Déchaînée pour moi, un mendiant de ses peurs,
La préface hâle le beignet de son cœur,
Ho ! Vieux ! Sa jolie prière me bombe le torse.


Grâce ! Grasse !
Bizarrerie.