Un vieil homme, dont nulle ne peut dire l'âge,
Survivait, dans une cabane bien sauvage !
Qu'il avait construite de ses mains abîmées,
Alors qu'il sentait ses forces décliner !
Ce morne toit, déployant tant de zèle,
Seul, l'abritait des larmes du ciel !
Mais point de celles de sont Coeur,
Où s'éteignit toute forme de chaleur !
Inlassablement, tout au long du jour,
Il arpentait tous ces sentiers, ces alentours !
Cheminant péniblement le dos courbé,
Tant usé par d'indicibles années !
C'est pour enseigner qu'il faut dès la jeunesse,
Comme d'un usufruit prendre sont passe temps,
Que pas à pas nous suit l'importune vieillesse,
Et qu'amour et les fleurs ne durent qu'un Printemps !
Survivait, dans une cabane bien sauvage !
Qu'il avait construite de ses mains abîmées,
Alors qu'il sentait ses forces décliner !
Ce morne toit, déployant tant de zèle,
Seul, l'abritait des larmes du ciel !
Mais point de celles de sont Coeur,
Où s'éteignit toute forme de chaleur !
Inlassablement, tout au long du jour,
Il arpentait tous ces sentiers, ces alentours !
Cheminant péniblement le dos courbé,
Tant usé par d'indicibles années !
C'est pour enseigner qu'il faut dès la jeunesse,
Comme d'un usufruit prendre sont passe temps,
Que pas à pas nous suit l'importune vieillesse,
Et qu'amour et les fleurs ne durent qu'un Printemps !